Personne ne doit rester muet face à la maltraitance animale.

 » Le fait, publiquement ou non, d’exercer des sévices graves ou de commettre un acte de cruauté envers un animal domestique ou un animal sauvage apprivoisé ou tenu en captivité, est puni de 3 ans de prison et de 45 000 € d’amende.  »
Article 521-1 du Code Pénal